L’église Saint-Georges de La Villette

Saint Georges 

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 St Georges et le dragon : Paolo Ucello, vers 1470

 

Né en Cappadoce (une région aujourd’hui située en Turquie) de parents chrétiens, Georges, officier dans l’armée romaine, dut un jour traverser la ville de Trébizonde (ville païenne de Lybie) terrorisée depuis des années par un dragon impitoyable, qui exigeait de ses habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort.

Or, quand Georges parvint dans cette ville, le tirage au sort venait de désigner la fille du roi comme une des futures victimes du monstre.

Georges engagea un combat terrible contre le dragon et, après avoir imploré le Christ, il obtint la victoire.

Le roi et tout le peuple derrière lui demandèrent alors le baptême tandis que Georges distribuait auprès des plus pauvres la grosse somme d’argent qu’il venait de recevoir des mains du roi pour avoir sauvé sa fille.

La Tradition rapporte que Georges, avant de quitter la ville, eut le temps d’apprendre au roi comment prendre soin de l’Eglise de Dieu, comment honorer ses prêtres, suivre avec piété les offices divins et prendre soin des plus pauvres.

Par la suite, Georges aurait été l’une des nombreuses victimes des persécutions antichrétiennes organisées par l’empereur Dioclétien. Il aurait été décapité vers 303 près de la ville de Lydda (Lod en hébreu) en Palestine.

 

 

Le combat de saint Georges est avant tout chose une métaphore de la lutte entre le bien (le chevalier) et le mal (le dragon).

Quant à la princesse, il s’agit d’une représentation de l’âme humaine que se disputent sans cesse le bien et le mal.

Il faut noter que si saint Georges terrasse le dragon, il ne le tue pas car alors cela signifierait que le mal disparaîtrait de la terre, ce qui est impossible : les hommes peuvent résister, contourner, faire reculer le mal mais il ne leur appartient pas de l’anéantir. Seul Dieu peut vaincre le mal. C’est pourquoi l’Esprit et l’Eglise prient : « Viens, Seigneur Jésus » (Ap 22, 17. 20)

La victoire de saint Georges est à rapprocher de celle de l’archange saint Michel.

 

Le culte de saint Georges, diffusé en Occident lors des croisades, est toujours demeuré très vivace en Grèce et en Russie où il a personnifié l’idéal chevaleresque.

Saint Georges est le saint patron de l’Angleterre, des cavaliers, des militaires, des archers, des escrimeurs et des scouts.

 

Saint Georges est représenté dans cinq endroits dans l’église :

  • sur l’un des ambons du chœur (eau-forte),st-georges-5
  • sur l’un des vitraux du chœur, st-georges-16

 

 

 

 

 

  • sur le mur, à droite du chœur : une icône offerte en 2006 par l’institut orthodoxe St-Serge, le représente,st-georges-12

 

 

 

 

  • à gauche du chœur, dans une grande statue de bronze de Georges-Claudius LAVERGNE, st-georges-20
  • sur le haut-relief du tympan du porche d’entrée dû à Jules-Constant DESTREEZ .

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L’édifice : un hommage à Mgr Georges Darboy

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L’église fut érigée en 1875 sur les plans des architectes Louis CHAUVET et Alfred COULOMB suite à la création de la paroisse en l’honneur de Mgr Georges DARBOY, archevêque de Paris, fusillé par les fédérés pendant la Commune de Paris en 1871.

Prélat actif, pieux et régulier, Mgr Darboy était apprécié de Napoléon III, dont il fut le grand aumônier.

De tendance gallicane au Ier concile du Vatican, il fit partie de la minorité opposée à l’infaillibilité pontificale, mais il se soumit avec loyauté le 2 mars 1871.

Il demeura dans son diocèse pendant l’avancée des troupes allemandes, puis il vécut la Commune et le siège de Paris au milieu de ses diocésains

Mgr Georges Darboy, l’abbé Gaspard Deguerry, curé de la Madeleine et grand prédicateur, trois Jésuites et Louis-Bernard Bonjean, Président de la Cour d’Appel de Paris, furent faits prisonniers par la Commune de Paris et retenus comme « otages du peuple de Paris ».

Les communards avaient proposé aux autorités versaillaises dirigées par Thiers de les échanger contre Auguste Blanqui mais les négociations se heurtèrent à une fin de non-recevoir de Thiers.

Le 24 mai 1871, Mgr Darboy et ses cinq compagnons de captivité furent passés par les armes dans une cour de la prison de la Grande-Roquette à Paris.

La cause en béatification de Mgr Georges Darboy sera introduiteà Rome à de multiples reprises, mais à chaque fois écartée pour des raisons d’inopportunité politique. Le dernier à proposer la béatification de Mgr Darboy fut le cardinal Lustiger en 1998 mais l’idée n’aura pas de suite.

 

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Le premier curé de la paroisse fut Alfred CAILLEBOTTE, frère du peintre Gustave CAILLEBOTTE.

L’église est de style roman.

Le bas-côté droit de la nef ouvre, dans sa deuxième travée sur la chapelle St-Joseph st-georges-33et en son extrémité, sur la chapelle de la Vierge.st-georges-36

Le bas-côté gauche, ouvre sur la chapelle des Défunts et sur celle du Sacré-Cœur.

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Un second bas-côté, sur la droite, assure la liaison avec la chapelle contiguë, qui est celle des Catéchistes, appelée chapelle St-Jean. Cette dernière fut construite en 1878.

 

 

La façade de l’église s’inscrit plutôt heureusement dans la courbe formée par l’avenue Simon Bolivar.

Les fondations, sur un sol instable, à l’emplacement de carrières, semblent avoir absorbé une grande partie des sommes allouées à la construction de l’édifice.

Les vitraux

Tous les vitraux éclairant la nef sont l’œuvre du Maître Verrier, Charles LORIN et tous ont été réalisés au XIXème siècle.

Nous les étudierons à partir de l’entrée en progressant vers le chœur :

 

° Côté gauche :

 

  • Ste Jeanne de Chantal, fêtée le 21 août, (1572-1641) :

Jeanne-Françoise FREMYOT, baronne de CHANTAL, après le décès de son mari et après avoir terminé l’éducation de ses filles, fonda la Congrégation de la Visitation sous la direction de saint François de Sales.

Elle a été canonisée en 1767.

 

  • Ste Elisabeth de Thuringe, fêtée le 19 novembre, (1207 -1231) :

Cette princesse hongroise se consacra après le décès de son mari aux plus pauvres dont elle partagea la vie dans l’esprit des Frères Mineurs, avant de mourir d’épuisement à l’âge de 24 ans.

Elle a été canonisée en 1235.

 

  • Ste Marguerite de Cortone, fêtée le 22 février, (1247-1297)

Marguerite de Cortone (Italie), après avoir donné naissance à un enfant illégitime, revêtit l’habit et passa, selon la Tradition, une vie de pénitence auprès des plus pauvres de la cité italienne de Cortone.

Elle a été canonisée en 1728.

 

  • Ste Geneviève (vers 420-500)

Nous célébrons cette bergère de Nanterre devenue sainte patronne de Paris le 3 janvier.

Rappelons que, alors que le peuple de Paris fuyait épouvanté l’approche d’Attila et de ses hordes, Geneviève lui redonna courage grâce à sa prière ardente. Attila renonça à attaquer Paris.

 

  • Ste Clotilde, fêtée le 3 juin, (475-545)

Princesse burgonde catholique, Clotilde épouse le païen roi des Francs, Clovis et l’amena au baptême avec l’aide de l’évêque de Reims, Rémy. Elle contribua ainsi au triomphe de la foi catholique en Gaule où sévissait alors le paganisme ainsi que l’hérésie arienne.

 

° Côté droit :

 

  • St Jean-Baptiste de la Salle, fêté le 7 avril, (1651-1719)

Ce prêtre, docteur en théologie, fut le fondateur des Frères des Ecoles Chrétiennes.

Il influença profondément la pédagogie des écoles populaires et contribua grâce à l’esprit de foi et de dévouement qu’il insuffla à ses maîtres à transformer l’éducation.

Il fut canonisé en 1900.

 

  • St Vincent de Paul, fêté le 27 septembre, (1581-1660)

D’abord curé de campagne, puis précepteur à Paris, confident du roi, ce missionnaire fonda la congrégation de la Mission dite des Lazaristes (du nom de la léproserie St-Lazare, lieu d’établissement initial) et la congrégation des Filles de la Charité.

Il a été canonisé en 1737.

 

  • St François de Sales, fêté le 29 janvier, (1567-1622)

Cet évêque de Genève s’employa à ramener à la foi catholique les populations du Lyonnais passées à la Réforme protestante.

Auteur de livres très appréciés dès leur parution, comme L’introduction à la vie dévote, il fonda l’ordre de la Visitation.

Sa devise était : Tout par amour, rien par la force.

Proclamé Docteur de l’Eglise, il a été canonisé en 1665.

 

  • St Louis, fêté le 25 août, (1214-1270)

Louis IX, roi de France, fut reconnu pour sa piété et son sens de la justice.

Il fut aussi à l’origine des VIIème et VIIIème croisades.

Il fut canonisé en 1297.

 

  • St Nicolas, fêté le 6 décembre, (IVème siècle)

Evêque de Myre (Asie mineure), Saint Nicolas est réputé pour ses nombreux miracles.

C’est l’un des rares saints à être vénéré à la fois dans les Eglises d’Orient et d’Occident.

Il est le saint protecteur des petits enfants parce que la Tradition rapporte qu’il a ressuscité trois enfants, victimes d’un aubergiste.

 

  • Ste Catherine d’Alexandrie, fêtée le 25 novembre, (IIIe-Ive siècle)

Catherine était une jeune chrétienne très érudite et très belle. Tenant tête à l’empereur qui voulait en faire sa maîtresse et la ramener au paganisme, elle mourut martyrisée sur une roue.

C’est la patronne des philosophes.

 

  • Ste Anne

L’épouse de St Joachim et la mère de la Vierge Marie est fêtée le 26 juillet.

 

  • St Denis

Premier évêque de Paris, il fut envoyé en Gaule par le pape au IIIe siècle afin d’évangéliser le pays.

Il remplit sa mission avec un grand succès avant d’être martyrisé vers l’an 250 sur la colline de Montmartre.

On le fête le 9 octobre.

 

  • St Gabriel, Archange

Ce messager de la Bonne Nouvelle annonça à Daniel la signification de sa vision, à Zacharie, qu’il allait être père du Précurseur, Jean le Baptiste et à la toute jeune Marie qu’elle allait porter le Fils de Dieu.

On le fête avec les deux autres Archanges, Michel et Raphaël le 29 septembre.

 

Les vitraux éclairant le chœur sont dus au Maître Verrier, Emile HIRSCH et datent eux aussi du XIXe siècle.

Ils sont composés de trois parties :

  • Partie inférieure : écu aux armes des donateurs.
  • Partie centrale : saint en pied avec ses attributs devant une architecture stylisée.
  • Partie supérieure : dais suggérant la Jérusalem céleste.

 

De gauche à droite, ils représentent :

 

  • St Ambroise, fêté  le 7 décembre, (vers 330/340 – 397)st-georges-13

Ambroise fut évêque de Milan, théologien, exégète et homme de lettres. Ce Docteur de l’Eglise exerça une action décisive sur les rapports entre l’Eglise et l’Etat.

 

  • St Jérôme, fêté le 30 septembre, (347 – 420)

st-georges-14Ce Père et Docteur de l’Eglise traduisit l’Ancien Testament de l’hébreu en latin et l’Occident reçut cette œuvre gigantesque sous le nom de Vulgate.

 

  • St Joseph, fêté le 19 mars, c’est l’époux de la Vierge Marie.st-georges-15

 

 

 

 

 

 

 

  • Jésus Bon Pasteur

st-georges-41Fêté le 3ème dimanche de Pâques. « Je suis le bon Pasteur » (Jn 10, 14)

 

  • St Georges (fêté le 23 avril)

 

  • St Augustin, fêté le 28 août, (354 – 430)st-georges-17

Augustin fut évêque d’Hippone.

La dimension exceptionnelle de son œuvre sur l’histoire de l’Eglise, la théologie, la culture fait que la pensée de ce Docteur de l’Eglise demeure toujours d’actualité.

 

 

  • St Martin de Tours, fêté le 11 novembre, (vers 316/317 – 397)*

st-georges-18Ancien militaire romain, cet évêque de Tours déploya l’activité militante d’un apôtre tant pour l’évangélisation des campagnes que pour sa charge d’évêque.

Il fonda l’abbaye de Ligugé près de Poitiers et est resté célèbre pour sa charité illustrée notamment par l’épisode fameux du partage de son manteau de soldat avec un pauvre.

 

Les vitraux du secrétariat, à droite de l’entrée, sont l’œuvre du Maître Verrier Jean-Louis ROUSSELET et datent du début du XXème siècle.

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Le vitrail du bas-côté gauche date du XIXème siècle et représente l’incrédulité de Saint Thomas qui voulut voir pour croire avant de s’exclamer : « Mon Seigneur et mon Dieu ».

 

Les chapelles

  • La chapelle Saint Joseph (à droite en entrant) a été restaurée en 2005-2006.

Elle est éclairée par deux vitraux :

A droite, le vitrail date de 1932 et représente le mariage de Marie et de Joseph.

A gauche, le vitrail de 1878 représente la Sainte Famille : Jésus, Marie et Joseph.

Au-dessus de l’autel, on peut admirer une statue de Saint Joseph en terre cuite. C’est l’œuvre de Jules-Constant DESTREEZ qui l’a réalisée l’année de la construction de l’église.

 

  • La chapelle des Défunts  (à gauche en entrant) est éclairée par deux vitraux exécutés en 1893 par le Maître Verrier QUEXAUVILLIERS.

Le premier représente une Pietà.st-georges-28

Le second, une Résurrection.st-georges-27

 

  • La chapelle de la Vierge  (à droite du chœur) est éclairée par un vitrail tripartite représentant le Couronnement de la Vierge, la mort de Saint Joseph et l’apparition de la Vierge à Lourdes.

Deux autres vitraux située dans cette même chapelle et datant de 1894 sont dus au Maître Verrier LORIN.

Celui de droite figure l’Assomption de Marie. Celui de gauche, l’Annonciation.

Au-dessus de l’autel se trouve une statue de la Vierge Marie exécutée par DESTREEZ.

 

  • La chapelle du Sacré Cœur (à gauche du chœur) est éclairée par un vitrail tripartite représentant le Christ en Croix, le repas à Emmaüs et Jésus apparaissant à Marguerite-Marie Alacoque.

Deux autres vitraux du Maître Verrier LORIN exécutés en 1894 représentent Ste Marguerite-Marie Alacoque en prière et la Présentation au Christ de l’église du Sacré Cœur de Montmartre.

Il convient de rappeler que Sœur Marguerite-Marie Alacoque (1647-1690) était Visitandine et qu’elle fut l’objet de révélations, apparitions et visions relatives au Sacré Cœur de Jésus.

Cette chapelle du Sacré Cœur est aussi ornée d’une statue du Christ due à DESTREEZ.

On peut aussi y voir une icône du Christ Miséricordieux, tel qu’apparu en 1931 à la sainte polonaise, soeur Faustine Kowalska. Le portrait de sainte Faustine Kowalska ainsi que celui de sainte Marguerite-Marie Alacoque y sont aussi visibles.

 

Les autres éléments décoratifs

  • Les peintures murales du chœur * retracent deux épisodes de la vie de Marie :

A droite, sa mère, Ste Anne* lui enseigne le Magnificat.

A gauche, Saint Jean* lui donne la communion.st-georges-1-1

 

  • Le devant de l’autel*, réalisé en 1772 par le peintre DEBONNEVILLE, représente le mariage de la Vierge.

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La scène se situe dans un cartouche orné de part et d’autre de cornes d’abondance, de vases Médicis et de couronnes de fleurs.

Il s’agit d’une composition reflétant l’art religieux du XVIIIème siècle.

 

  • Le Chemin de Croix a été installé avant Pâques 2007 et est l’œuvre du peintre, graveur et fresquiste Sergio BIRGA, né à Florence en 1940 et travaillant à Paris depuis 1964.

 

  • Les fonts baptismaux, dans leur configuration actuelle, ont été inaugurés le dimanche 4 février 2007. La cuve baptismale, de forme octogonale et en marbre, est celle de l’église à l’origine. Restaurée, elle a été replacée sur un nouveau support.

 

  • Quant à l’orgue du chœur, conçu à l’origine pour l’église St-Pierre de Chaillot par la maison Cavaillé-Coll-Mutinet, il a été installé, après restauration, en 1994.

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Il est un des rares grands orgues parisiens installés dans le Chœur.

 

Les autres décorations statuaires

Côté gauche :

  • Ste Thérèse de Lisieux, fêtée le 1er octobre, (1873-1897) :

Thérèse Martin entra au Carmel à 15 ans pour y vivre une vie de prière et de service avant de mourir à 24 ans. Elle expérimenta la « la petite voie » vers la sainteté qui se trace dans l’humilité des petites choses.

Patronne secondaire de la France et patronne des Missions, elle a été canonisée en 1925 et déclarée Docteur de l’Eglise.

 

  • Ste Rita, fêtée le 22 mai, (1381-1447) :

Cette sainte italienne fut mariée contre son gré car elle se destinait à la vie religieuse. Elle entra au monastère de Cascia après la mort de son époux et de ses deux fils. Elle reçut les stigmates du Christ.

Elle est invoquée pour les causes désespérées et a été canonisée en 1900.

 

Côté droit :

 

  • St Antoine de Padoue, fêté le 13 juin (vers 1195-1231)

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Prêtre et prédicateur de l’ordre des Frères Mineurs, il est demeuré célèbre tant pour ses sermons que pour ses miracles.

Canonisé en 1232, c’est un Docteur de l’Eglise.

 

  • Notre-Dame de Lourdes, fêtée le 11 février.

C’est sous cet aspect que la Vierge Marie apparut 18 fois à la jeune Bernadette Soubirous alors âgée de 14 ans. Ces apparitions eurent lieu en 1858.

Bernadette, devenue adulte, entra au couvent des Sœurs de la Charité et de l’Instruction Chrétienne de Nevers et prit le nom de Sœur Marie-Bernard. Elle a été canonisée en 1933.

  • Notre-Dame de Kibeho, au Rwanda. Ces apparitions ont commencé en novembre 1981.
    Deux commissions d’étude furent créées. Mgr Misago, évêque de Gikongoro a reconnu ces apparitions, le 29 Juin 2001, en la fête de saint Pierre et saint Paul, au cours d’une messe solennelle.st-georges-35

 

 

Les curés de St-Georges de la Villette

Alfred CAILLEBOTTE (1875- 1885)

Emile de la GUIBOURGERE (1885-1890)

Louis BARON (1890-1895)

François-Xavier SCHOEPFER (1895-1899)

Edouard PINET (1899-1907)

Charles GONIN (1907-1911)

Charles DESORMEAUX (1911-1920)

Eugène VARNIER (1921-1931)

Benjamin BRUNEAU (1931-1932)

Louis LOT (1932-1944)

Lucien FABRE (1944-1965)

Jean HOUERY (1965-1969)

Jacques LOCHMANN (1969-1979)

Michel DAURELON (1979-1987)

Roger MENTEUR (1987-1988)

Philippe DUMAS (1988-1998)

Patrice GUEUDAR-DELAHAYE (1998-2003)

Hubert BLIN (2003-2008)

Frédéric RODER (2008-2016)

Gabriel SAMPRÉ (2016-       )

 

 

 

« Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ; ils seront son peuple, et lui, Dieu-avec-eux, sera leur Dieu. » (Ap 21, 3)